138 Document (s)

Avec cet enregistrement capté lors de leur concert dans les Arènes de Nîmes en juillet 2012, Justice nous propose de revivre cette effervescence délirante qui fait du duo issu de la galaxie électronique un des groupes live les plus excitants depuis le début du siècle.

Ce coffret réunit trois des plus beaux albums du musicien country américain : Looks like rain (1969), Frisco mabel joy (1971) et Heaven help the child (1973). Le quatrième disque contient quand à lui démos, inédits et sessions radios de la même époque.

La formation post-rock mythique de Glasgow est de retour avec son 10ème album studio via Rock Action Records. Il a été enregistré au début de l'année 2020 avec le producteur Dave Fridmann (Mercury Rev, The Flaming Lips) et comporte des contributions d'Atticus Ross et de Colin Stetson. Il est rare d'entendre un groupe qui existe depuis aussi longtemps et qui a déjà sorti autant d'albums et qui n'a toujours pas connu de déceptions ou de faux-pas créatifs. Ce 10ème album n'y fait pas exception. C'est un disque de très peu de mots et c'est à vous d'en trouver le sens. Vous savez peut-être à quoi vous attendre, mais vous n'aurez jamais le même résultat. la fois transcendant et surprenant, As the love continues montre que Mogwai offre toujours des moments d'évasion, en fournissant la bande son de n'importe quel film que vous réalisez dans votre tête.

Trente ans après sa disparition tragique qui mit fin brutalement à une trop courte carrière, l'occasion de retrouver cet artiste d'exception nous est donnée au travers de ce projet composé de deux CD audio et d'un DVD.

Gonflée à bloc, mixant cultures techno, pop et goth, Kittin livre un bel album sur son propre label, emprunt d'ambiances noctambules, de fantasmes et surtout d'un son hors pair.

Rythmiques enlevées, textes merveilleusement loufoques et directs, il y a des albums qui réjouissent !

Celui qui, depuis les années 90, a toujours subtilement mélangé ses influences pop, soul, funk et rock pour aboutir à son propre son, délivre ici un disque aux accents electro.

Le groupe sétois aux paroles corrosives et aux rythmiques exotiques enfonce le clou avec cet album, aussi percutant et consistant que le premier. Rumba, calypso, rythmes capverdiens ou brésiliens, swing manouche, tout leur va pour nous chanter une poésie sociale et politique, aussi drôle que corrosive, un hymne joyeux à la vie et à la liberté.

Animé par une indolente soif de voyages, cet album raconte l'expérience des métropoles américaines - et plus encore - en puisant dans le vécu du songwriter. Il fait suite à Singing saw, sorti en 2016, création autobiographique laissant transparaître la solitude et les paysages dans lesquels il a été enregistré. Et là arrive City music, le yang du yin, à la fois opposé et complémentaire à son prédécesseur. Comme si Morby avait utilisé l'autre partie de son cerveau. Il explore des thèmes similaires à la solitude mais cette fois, à travers la fenêtre d'un appartement huppé appartenant à un paysage urbain exposé comme une géante blessure à vif.

Ce disque c'est la complicité exceptionnelle de deux artistes qui n'a cessé d'évoluer, de grandir depuis leur rencontre au début des années 2000, le ciment et l'âme de ce duo unique qui donne naissance ici à un album magique, tendre et sensuel composé principalement de titres originaux.