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Ce coffret réunit trois des plus beaux albums du musicien country américain : Looks like rain (1969), Frisco mabel joy (1971) et Heaven help the child (1973). Le quatrième disque contient quand à lui démos, inédits et sessions radios de la même époque.

La formation post-rock mythique de Glasgow est de retour avec son 10ème album studio via Rock Action Records. Il a été enregistré au début de l'année 2020 avec le producteur Dave Fridmann (Mercury Rev, The Flaming Lips) et comporte des contributions d'Atticus Ross et de Colin Stetson. Il est rare d'entendre un groupe qui existe depuis aussi longtemps et qui a déjà sorti autant d'albums et qui n'a toujours pas connu de déceptions ou de faux-pas créatifs. Ce 10ème album n'y fait pas exception. C'est un disque de très peu de mots et c'est à vous d'en trouver le sens. Vous savez peut-être à quoi vous attendre, mais vous n'aurez jamais le même résultat. la fois transcendant et surprenant, As the love continues montre que Mogwai offre toujours des moments d'évasion, en fournissant la bande son de n'importe quel film que vous réalisez dans votre tête.

Animé par une indolente soif de voyages, cet album raconte l'expérience des métropoles américaines - et plus encore - en puisant dans le vécu du songwriter. Il fait suite à Singing saw, sorti en 2016, création autobiographique laissant transparaître la solitude et les paysages dans lesquels il a été enregistré. Et là arrive City music, le yang du yin, à la fois opposé et complémentaire à son prédécesseur. Comme si Morby avait utilisé l'autre partie de son cerveau. Il explore des thèmes similaires à la solitude mais cette fois, à travers la fenêtre d'un appartement huppé appartenant à un paysage urbain exposé comme une géante blessure à vif.

Originaire de Bretagne, il est l'un des artistes les plus estimé de sa génération avec une réputation tout d'abord établie sur ses albums studio (notamment Le phare en 1998 et Les retrouvailles en 2005 puis confirmée par son travail sur la bande originale du Fabuleux destin d'Amélie Poulain (2001) qui lui a valu une très large reconnaissance. Produit par Yann Tiersen et mixé par Ken Thomas (Sigur Ros, M83, Moby), ce disque marque l'incorporation de sons et de textures électroniques vintage dans sa musique.

Personne n'est plus qualifié que Neil Young lui-même pour décrire Homegrown : "Cet album est le pont entre Harvest et Comes a time". Enregistré entre juin 1974 et janvier 1975, Homegrown devait sortir en 1975 avant que Neil n'annule la sortie. L'album est resté inédit jusqu'à présent, atteignant un statut légendaire parmi les fans de Neil Young. Il est composé de douze chansons de Neil Young, dont sept sont inédites - Separate ways, Try, Mexico, Kansas, We don't smoke it no more, Vacancy et Florida (un titre spoken word). Sont également inclus les premiers enregistrements de Love is a rose, Homegrown, White line, Little wing et Star of Bethlehem - différentes versions qui apparaîtront toutes plus tard sur d'autres albums de Neil Young. Neil joue en solo sur certaines pistes (guitare, piano et harmonica), et est rejoint par un groupe d'amis sur d'autres titres, dont Levon Helm, Ben Keith, Karl T Himmel, Tim Drummond, Emmylou Harris et Robbie Robertson. Enregistré en analogique et masterisé à partir des bandes originales, cet album perdu depuis longtemps est un merveilleux ajout au catalogue incomparable de Neil.

Après avoir prouvé avec leur premier album qu'il était possible de s'inspirer du passé tout en apportant une touche personnelle très efficace, les Blues Pills se devaient de concrétiser tous les espoirs qu'un large public attendait d'eux. Autant dire que le pari est réussi avec ce deuxième effort dont la puissance et la grâce doivent autant à la voix mi-ange / mi-démon de la chanteuse Elin Larsson, qu'au groove endiablé distillé par l'ensemble du groupe.

10 ans après leur premier album, la formation américaine est de retour avec son septième opus. Après une tournée mémorable lors de la sortie de The Threshingfloor, Pascal Humbert, collaborateur de longue date, a pris la décision de quitter le groupe pour retourner en France aider son père à gérer le vignoble familial. David Eugene Edwards a donc recruté deux nouveaux musiciens Chuck French (guitare) et Gregory Garcia (basse), seul reste le batteur de la formation initiale Ordy Garrison. Que les fans se rassurent, le groupe n'a rien perdu de sa magie et de son hypnotisme et se renouvelle en signant un album au son plus rock et plus heavy.